- Renforcement du partenariat stratégique : la Représentante de l’UNICEF reçue en audience par le Chef du Gouvernement burkinabè.
- Clôture solennelle des activités culturelles et sportives : les écoles du camp Ouezzin Coulibaly célèbrent l’excellence et l’engagement scolaire.
- Lancement officiel des épreuves du BEPC et du CAP 2025 : plus de 30 000 candidats en lice dans les Hauts-.
- Lancement du volet pavage et embellissement de l’Initiative présidentielle Faso Mêbo : une mobilisation citoyenne au service de la beauté urbaine à Bobo-Dioulasso.
- Kouakoualé érige un symbole de veille patriotique : inauguration d’un rond-point dédié à la réflexion citoyenne et à l’accompagnement des efforts de libération nationale
- Cérémonial républicain : l’arrondissement 5 de Bobo-Dioulasso honore la Nation à travers une montée solennelle des couleurs.
- Lancement de la 16e phase de l’opération « Bobo Sanya Sira » : l’arrondissement 2 mobilisé pour l’assainissement et l’embellissement urbain.
- Aïd el-Kebir 2025 : la communauté musulmane de Bobo-Dioulasso en prière pour la paix, la sécurité et la cohésion nationale
- Fête de la Tabaski : les musulmans de Bobo-Dioulasso prient pour la paix et la cohésion sociale
- Tabaski : la volaille aussi à l'honneur dans les marchés bondés.
- Festival du chef de canton Bôbô Mandarè : les Bôbô triomphent en finale de la Coupe de la Plaisanterie sur la place Wara-Wara.
- Répartition des droits d’auteur : plus de 400 millions FCFA versés aux membres du BBDA
- Assainissement à Bobo-Dioulasso : l’opération Bobo Sanya Sira en action dans l’arrondissement 2
- Coopération Burkina–UNICEF : Dr Chantal Umutoni reçue par le Premier ministre.
- Veille de Tabaski : affluence record dans les salons de coiffure
- Préparatifs de la Tabaski : entre course aux moutons et quête de tenues de fête.
- À la Primature, le Chef du Gouvernement exhorte à un sursaut patriotique pour consolider la souveraineté nationale.
- Montée des couleurs à Bobo-Dioulasso : l’arrondissement 5 rassemble les corps constitués autour du drapeau national.
- Sport Familial » : Burkina Gospel Family fait bouger Bobo pour le vivre-ensemble et la cohésion sociale
- À l’approche de la Tabaski, un marché du mouton morose : les vendeurs entre inquiétude et incertitude
Le Conseil des ministres se tient ce jour 04 juin 2025 sous la présidence du Capitaine Ibrahim TRAORÉ, Président du Faso, Chef de l’État. Au cours de cette instance au sommet de l’État, des décisions seront prises pour répondre aux aspirations des Burkinabè conformément à la vision de la Révolution Progressiste Populaire (RPP).
Direction de la Communication de la Présidence du Faso
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Ce lundi matin, dès les premières lueurs du jour, un vent de concentration et d’anticipation soufflait sur les établissements scolaires du Burkina Faso. Ils sont des milliers, garçons et filles, habillés de leurs plus beaux habits d’écoliers, cartables sur le dos et rêves pleins les yeux, à avoir franchi les grilles de leurs centres d’examen, prêts à affronter les épreuves du Certificat d’Études Primaires (CEP), du Brevet d’Études Professionnelles (BEP) et du Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC). Trois diplômes charnières qui jalonnent le parcours scolaire de tout apprenant burkinabè, et symbolisent bien souvent l’aboutissement de longues années d’efforts, de sacrifices et d’espoirs.
Elèves de Bobo-Dioulasso pour le CEP 2025 - Centre de Colma Nord B
Une rentrée d’examen sous haute vigilance
Dans la commune de Bama, au centre d’examen du CEP, l’atmosphère était dense dès 6 heures du matin. Les visages sont tendus mais déterminés. Dans un silence empreint de solennité, les candidats s’installent dans les salles, les encadreurs peaufinent les dernières consignes et les forces de sécurité, en uniforme, veillent au grain. À Bobo-Dioulasso, au Lycée Privé Yahvé Jiré, les candidats du BEPC prennent place à leur tour, feuilletant nerveusement les derniers cours, chuchotant des prières discrètes, le regard déjà fixé sur l’avenir.
Les dispositifs sont en place. Sur tout le territoire national, le Ministère de l’Éducation nationale, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues nationales a mobilisé un impressionnant dispositif humain et logistique : surveillants, correcteurs, agents de sécurité, membres du jury, tous sont à pied d’œuvre pour garantir la régularité, l’intégrité et la sérénité des épreuves.
Madame le Préfet de Bobo-Dioulasso et Monsieur le PDS de l'Arrondissement 4 en compagnie du CCEB - BOBO4 Président du jury 7 et Président du Centre Kua B
Les autorités éducatives sur le terrain
Ce même matin, des délégations officielles du ministère ont visité plusieurs centres d’examen, notamment à Bobo-Dioulasso et dans les Hauts-Bassins, pour constater les conditions de déroulement des examens et adresser des mots d’encouragement aux candidats.
« Ces examens ne sont pas une fin, mais une étape vers votre épanouissement intellectuel et professionnel. Soyez concentrés, rigoureux et confiants », a déclaré un inspecteur d’académie présent à Bama, s’adressant aux élèves de CM2 avant qu’ils ne plongent dans l’épreuve de dictée.
Le message du ministère est clair : rien ne doit entacher la crédibilité des examens nationaux. Dans un pays confronté à de multiples défis, maintenir la qualité et la régularité des examens scolaires devient un acte de résilience et de foi dans l’avenir.
Des familles entre tension et espoir
Dans les cours des écoles et à proximité des centres d’examen, les parents ne sont pas en reste. Certains attendent avec fébrilité la sortie de la première épreuve, d’autres restent en prière dans les mosquées et églises, implorant la réussite de leurs enfants. Dans les familles rurales comme urbaines, l’obtention d’un diplôme représente bien plus qu’un certificat : c’est souvent le premier pas vers la dignité sociale, voire la promesse d’une ascension économique pour toute la cellule familiale.
Des candidats entre stress et ambition
Pour la majorité des élèves, ces examens représentent un tournant :
Pour les candidats du CEP, il s’agit de clore leur cycle primaire et de se hisser vers le collège, souvent dans des zones où les établissements secondaires sont rares.
Pour ceux du BEP, la visée est professionnelle : accéder au monde du travail avec une qualification reconnue.
Quant aux aspirants du BEPC, ce diplôme est la porte d’entrée du second cycle et, potentiellement, du baccalauréat.
Face à de tels enjeux, l’engagement des élèves est palpable. Les enseignants, en amont, ont multiplié les séances de révision. Les écoles communautaires, malgré la modestie de leurs moyens, ont tout donné pour préparer les enfants.
Un pays mobilisé pour l’école malgré les défis
Malgré le contexte sécuritaire préoccupant dans certaines régions du pays, le Gouvernement a tenu à maintenir l’organisation des examens sur l’ensemble du territoire, là où les conditions le permettent. Une manière d’affirmer que l’école reste un rempart contre l’obscurantisme et l’instrumentalisation des jeunes par les forces du mal.
Dans des zones à fort défi sécuritaire, des mesures spécifiques ont été prises : regroupement de candidats déplacés internes, sécurisation renforcée des centres, hébergements temporaires. Un engagement fort qui témoigne de la volonté des autorités de ne laisser aucun élève sur le bord du chemin.
Une semaine décisive pour l’avenir de milliers d’élèves
Tout au long de cette semaine, les candidats enchaîneront les épreuves écrites selon un calendrier rigoureux. La correction des copies et la proclamation des résultats suivront dans les semaines à venir.
Dans l’attente de ces résultats, c’est tout un pays qui retient son souffle, avec cette foi tranquille que chaque réussite scolaire est une victoire collective, une lumière dans l’obscurité des temps, une promesse de lendemains meilleurs.
À tous les candidats, bonne chance, courage et confiance !
Le Burkina Faso croit en vous.
Kindo Brahima
Correspondant éducation – Faso Patriote TV
Le Premier ministre, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, a reçu en audience la Représentante du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) au Burkina Faso, Dr Chantal Umutoni, ce mardi 03 juin 2025, à Ouagadougou. Récemment arrivée au poste, Dr Chantal Umutoni a fait le déplacement de la Primature, afin de présenter ses civilités au Chef du Gouvernement et d'explorer les axes prioritaires pour le renforcement de la coopération entre le Burkina Faso et l’UNICEF.
Le Premier Ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo et Dr Chantal Umutoni
Le Burkina Faso et l’UNICEF entretiennent d’excellentes relations de coopération, et Dr Chantal Umutoni entend poursuivre la dynamique.
« Le Gouvernement burkinabè met l’intérêt et le bien-être des enfants au cœur de l’action gouvernementale. Nous sommes venus remercier le Premier ministre pour cela, mais aussi le rassurer que nous allons continuer à travailler avec le Gouvernement, dans la vision du Gouvernement et suivant les priorités définies par le Gouvernement pour continuer à assurer le bien-être des enfants et l’accès à leurs droits », a expliqué la nouvelle Représentante de l’UNICEF, Dr Chantal Umutoni, à l’issue de l’audience.
Le Premier Ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo et Dr Chantal Umutoni
Le Premier ministre a félicité Dr Chantal Umutoni pour sa nomination et lui a assuré de sa disponibilité à accompagner les interventions de l’UNICEF, selon les priorités du Gouvernement burkinabè.
« Pour un avenir sûr, il faut miser sur le bien-être des enfants. Sur le sujet, le Gouvernement a une vision claire et des priorités», a-t-il déclaré.
Il a également partagé avec son hôte le constat que certains organismes censés œuvrer à l’épanouissement de l’enfant demeurent aphones face à l’enrôlement des enfants par les terroristes.
Dr Chantal Umutoni
La nouvelle Représentante de l’UNICEF a présenté ses Lettres de Cabinet au ministre en charge des Affaires étrangères, le 27 mai dernier, ce qui vaut sa prise de fonction officielle. Avant le Burkina Faso, Dr Chantal Umutoni a servi en République du Congo où elle a occupé la fonction de Représentante de l’UNICEF.
Ce mardi 3 juin 2025, Jacques Sosthène Dingara, ministre de l’Enseignement de base, de l'Alphabétisation et de la Promotion des Langues nationales, a donné le coup d’envoi officiel du Certificat d’Études Primaires (CEP) et du Concours d’entrée en sixième, session 2025, au centre de Tielkan A dans la ville de Gaoua.
Lancement CEP 2025 à Gaoua
Aux côtés de ses homologues du Développement industriel, Serges Gnaniodem PODA, et des Sports, Roland SOMDA, il a supervisé les premières étapes de l’examen. Sur les 213 candidats inscrits dans ce centre, seuls deux étaient absents, suite à des abandons en cours d’année.
Le ministre DINGARA a saisi l’occasion pour galvaniser les élèves, insistant sur la concentration, la patience et la confiance en soi. « Réussir le CEP, c’est aussi contribuer au développement de sa nation », a-t-il déclaré avec conviction.
La première épreuve, une rédaction portant sur l’utilité du jardinage scolaire, illustre les réformes pédagogiques en cours, notamment l’introduction des champs et jardins scolaires au primaire.
Les élèves de Gaoua affrontant la première épreuve, une rédaction portant sur l’utilité du jardinage scolaire
À 7h20 précises, l’ouverture symbolique de l’enveloppe contenant le sujet a synchronisé le lancement dans les 1 854 centres d’examen du pays, mobilisant 376 681 candidats, dont 338 565 au CEP et 38 116 à la certification professionnelle en alphabétisation.
Les épreuves se dérouleront jusqu’au 5 juin. Les corrections débuteront le 9 juin, suivies des délibérations dès le 14 juin 2025.
Cette session se distingue également par plusieurs innovations, telles que la déconcentration de la reprographie et la fin de la double réquisition pour certains acteurs.
En choisissant Gaoua, une région sans école fermée ni délocalisée, le gouvernement entend saluer la résilience exemplaire de son système éducatif.
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(Ouagadougou, 2 juin 2025). Le Président du Faso, Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, a accordé ce lundi matin une audience à l’ambassadeur de la République populaire de Chine dans notre pays, Lu SHAN.
L’ambassadeur Lu SHAN, en fin de mission, fait le point au Président du Faso
En fin de mission après trois ans au Burkina Faso, le diplomate chinois vient dire aurevoir et faire le point de la coopération sino-burkinabè au Chef de l’État.
« La Chine et le Burkina Faso ont établi des partenariats stratégiques et nos deux pays se prêtent un soutien réciproque sur les questions touchant aux intérêts vitaux de chacun », déclare le diplomate chinois à l’issue de son entretien avec le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ.
L’ambassadeur chinois, Lu SHAN souligne que les deux pays se sont engagés « à travailler davantage pour que notre coopération pragmatique porte plus de fruits au profit du développement de nos pays et pour l’amélioration du bien-être des deux peuples ».
L’ambassadeur Lu SHAN, en fin de mission
L’ambassadeur Lu SHAN note que de nombreux projets sont en cours dans la perspective du renforcement de la coopération entre le Burkina Faso et la République populaire de Chine. « Je suis sûr que mon successeur et les autorités burkinabè vont travailler main dans la main pour le renforcement de cette coopération », soutient-il.
Le diplomate chinois, Lu SHAN, dit apprécier bien l’hospitalité des Burkinabè. « Durant mon séjour ici, j’ai pleinement ressenti l’amitié et la solidarité des amis burkinabè (…) A titre personnel, je serai toujours l’ami fiable du Burkina Faso et je vais toujours apporter ma contribution au développement des relations sino-burkinabè », conclut l’ambassadeur Lu SHAN.
Direction de la communication de la Présidence du Faso
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