FASO PATRIOTES TV

Le ministre de l' Environnement, de l'eau et de l' assainissement monsieur Roger BARO a procédé le lundi 13 janvier 2025 à la remise d'infrastructures  d'approvisionnement en eau potable multivillages à Komki - Ipala et à la mise en service des toilettes mobiles publiques  dans la commune Ouagadougou. 

En vue de l’atteinte de l' accès à l' eau potable en milieu rural au Burkina Faso, d' ici à l'horizon 2030, le gouvernement burkinabé à travers le ministère de l'environnement, de l'eau et de l'assainissement a réalisé des infrastructures hydrauliques.

Parmi les communes bénéficiaires de ces ouvrages figure celle de  Komki-Ipala. Cette localité située à une trentaine de kilomètres de Ouagadougou a reçu la visite du ministre en charge de l' eau et de l'assainissement monsieur  BARO. Il a pu constater de visu la réalisation effective du premier centre de conduit d'eau dans le village de Vipalgo ,  du château d’eau et du centre de traitement de l' eau et également de la borne fontaine du village de Nabelin.

Selon le ministre  Roger BARO, cette sortie  lui a permis de faire le point des réalisations de son département en matière d'eau et d'assainissement dans la région du Centre. Ces infrastructures d'approvisionnement en eau potable multivillages vont desservir cinq (05) villages à savoir les villages de Bargho, Lemnogo, Nabelin, Vipalgo et Wobzogo, a fait savoir Monsieur BARO.  Selon lui,  ce programme d'adduction d'eau potable revient à rapprocher l'ONEA du milieu rural. Madame Flora DUBARRY, directrice régionale en charge de l'eau et de l'assainissement  du Centre  a laissé entendre que ces infrastructures d'eau vont permettre d’apporter l'eau des centres excédentaires vers les villages où  Il y a  un  besoin  d'eau potable . Elle a par ailleurs ajouté que ce système matérialise “l'approche service” afin que chaque ménage puisse disposer de l'eau potable.  Elle a en outre rassuré la population quant à la qualité de l'eau fournie dans les 18 points de dessertes  des  05 villages concernés.

Après l'étape de Komki-Ipala, le cap est mis sur Ouagadougou. Dans la capitale, le ministre en charge de l'eau et de l'assainissement et sa délégation  ont visité des latrines publiques. Le premier site de latrines mobiles publiques visité est situé en face du cimétière municipal de Gounghin. Monsieur Roger BARO a procédé à la coupure du ruban symbolique marquant ainsi l'inauguration officielle des latrines mobiles publiques dans les communes de Ouagadougou, Bobo Dioulasso et Koudougou. Pour le ministre, la réalisation des latrines dans ces trois (03) communes constitue la phase pilote du projet qui s' étendra dans les autres régions du Burkina Faso. 

Monsieur Maurice KONATE, haut- commissaire de la province du Kadiogo et président de la délégation spéciale de la commune de Ouagadougou, prenant la parole au nom de la population de sa commune a remercié le gouvernement pour la réalisation de ce projet. Il s’est engagé à tout mettre en oeuvre afin d' assurer un bon entretien des ouvrages. 

Au  total  24  cabines de latrines mobiles publiques  sont en cours de réalisation dans les communes  de Ouagadougou, Bobo Dioulasso et Koudougou. 

Source: SIG Burkina Faso

Message du Capitaine Ibrahim TRAORE lors de la montée des couleurs du 13 janvier 2025

Le procureur du Faso près le Tribunal de grande instance de Ouaga 1, monsieur Blaise Bakouli BAZIE a animé une conférence de presse le vendredi 10 janvier 2025 à Ouagadougou pour faire le point des dossiers déjà jugés dont l'affaire ministère public contre Amidou TIEGNAN et trois autres, et sur les dossiers en cours d'instruction portant sur le Stade du 4 Août et sur les accusations de détournements de deniers publics, d'octroi d'avantages injustifiés et de blanchiment de capitaux à l'encontre de l'ancien président de l'Assemblée nationale et cinq (05) autres personnes.

Source: SIG Burkina Faso

« Le 08 novembre 2024, je vous avais conviés dans cette même salle pour vous entretenir sur deux affaires en cours, en l’occurrence les affaires TIEGNAN Amidou et autres et KINDA. Par cette même occasion, je vous annonçais la tenue de session de jugement du pôle économique et financier de notre tribunal.

Ledit pôle a effectivement tenu deux sessions de jugement d’affaires relevant de sa compétence courant les mois de novembre et décembre 2024 au cours desquelles vingt-deux (22) dossiers ont été inscrits au rôle et impliquant cent dix-sept (117) prévenus. »

« Près de 2000 dossiers de Citation directe ou de Flagrant délit attendent d’être jugés. Pour diverses raisons ces dossiers ne sont pas jugés. Certains de ces dossiers datent de plus de 10 ans.  En raison de ce nombre important de dossiers, les juges montent aux audiences avec en moyenne 60 dossiers. 

Pour pallier ce problème, les acteurs judiciaires en concertation avec le ministère en charge de la justice, organisent une opération spéciale dénommée casiers vides pour évacuer l'ensemble de ce passif. Ainsi, des audiences délocalisées se tiendront du 20 au 30 janvier 2025.  

Elles se dérouleront à juge unique dans diverses salles des mairies d’arrondissement de notre ressort, au CES, ou dans des salles d’audience de certaines juridictions sœurs.  Les populations (ceux qui ont des dossiers) sont donc invitées à consulter les listes qui seront affichées dans les différents arrondissements, au palais de justice, ou ministère en charge de la justice ou sur le site du ministère. 

Cette pratique se poursuivra par la suite pour épuiser le stock de dossiers en attente. La délocalisation a essentiellement pour but de rapprocher la justice du justiciable et de remplir sa fonction pédagogique. »

« Le mardi 07 janvier 2025, mon parquet, comme beaucoup de nos compatriotes a appris par voie de presse en ligne “Libreinfo”, des faits de viol commis dans l’enceinte de CHU Yalgado. Le même jour, la Brigade Territoriale de gendarmerie de Ouagadougou a été instruite de vérifier les faits et diligenter une enquête. Dans ses vérifications, il est ressorti que la victime avait déjà saisi la Brigade Ville de Nongremassoum, des faits survenus dans la matinée du dimanche 05/01/2025 vers 10 heures au Bloc des urgences de l’hôpital. 

La victime assistait son époux hospitalisé qui a malheureusement succombé de sa maladie le même jour. Une réquisition à personne qualifiée faite par cette unité lui a permis d’être prise en charge par un gynécologue. Le mis en cause a été déjà identifié et s’agirait d’un infirmier en service à l’Unité des Urgences Médicales du CHU Yalgado OUEDRAOGO.  L’enquête est en cours et à l’issue, il sera déféré pour qu’il réponde de ses faits. »

« Mon parquet a également saisi par réquisitoire introductif en date du 08 décembre 2023, le cabinet d’instruction n°01, aux fins d’instruire sur des faits de détournement de deniers publics, d’octroi d’avantages injustifiés, et de blanchiment de capitaux contre l’ancien président de l’Assemblée nationale, Alassane BALA SAKANDE et cinq (5) autres personnes.

Il leur est essentiellement reproché, d’avoir, par des manœuvres, procédé à la conclusion de marchés publics par entente directe, sans respect de la mercuriale des prix, à des fins déguisées de détournements de deniers publics et d’enrichissement illicite. Il est également reproché à l’ancien président de l’Assemblée Nationale, des faits de distribution injustifiée d’argent à des tiers sur les fonds alloués à l’institution.

Le principal mis en cause, Alassane BALA SAKANDE étant actuellement hors du territoire national pour des raisons prétendues de soins médicaux, les dispositions nécessaires sont entrain d’être prises pour qu’il soit présenté au juge pour la suite de l’instruction. Mais d’ores et déjà, par commission rogatoire, une enquête de patrimoine est actuellement en cours, laquelle a permis l’identification et la saisie d’importants biens à Ouagadougou, Bobo Dioulasso, Yako, Ouahigouya, Manga, Banfora et Koudougou.

C’est le lieu pour moi de réaffirmer que le pôle judiciaire ECOFI est activement engagé dans la lutte contre la délinquance économique et financière et entend, avec les moyens dont il dispose, intensifier la répression dans le strict respect des textes. »

« Mon parquet est en outre activement mobilisé dans le dénouement d’autres affaires d’importance nationale telles l’affaire dite « Stade du 4 août ».

En effet, s’agissant de l’affaire dite « stade du 4 août », il faut noter que par Soit-Transmis en date du 23 mars 2022, le parquet instruisait le Groupement de Gendarmerie Départementale de Ouagadougou, d’ouvrir une enquête pénale sur des suspicions de surfacturation, de conflit d'intérêt et toutes autres infractions dans le cadre de l’attribution et de l’exécution du marché de réhabilitation du stade du 4 août de Ouagadougou. 

Pour mener à bien l’enquête, une équipe a été constituée et le concours d’experts et de certaines structures a été demandé telle que l’Autorité Supérieure de Contrôle d’État et de Lutte contre la Corruption (ASCE-LC). Les investigations ont établi des irrégularités dans la passation du marché relatif à la réhabilitation du Stade du 4 Août au profit du groupement SIFA SA, AL MOUNIA et TRUVA INSAAT. »

« Relativement au dossier TIEGNAN, il convient de préciser qu’au regard des éléments de l’enquête et de la nécessité d’allier les impératifs de célérité et d’exhaustivité, les poursuites ont été scindées en deux.

C’est donc la première partie qui a été jugée suivant la procédure de flagrant délit et qui a abouti à la décision de condamnation du sieur TIEGNAN et à trois autres à des peines qui ont été rendues publiques. La deuxième partie des poursuites a été déférée par un réquisitoire introductif en date du 21 novembre 2024 au cabinet du doyen des juges d’instruction du pôle ECOFI du TGI Ouaga I et concerne l’ensemble des faits qui n’ont pas été pris en compte dans le dossier de flagrant délit. Ainsi, le sieur YE Yaké Camille et toutes les autres personnes impliquées dans l’affaire, citées ou non au cours du procès, sont également visées par cette procédure déjà pendante devant le juge d’instruction. »

« Au nombre des dossiers jugés, celui dit de l’affaire ministère public contre TIEGNAN Amidou et trois autres retiennent particulièrement l’attention. En effet, pour la première fois, notre juridiction a autorisé une retransmission d’un procès en direct de la télévision nationale. Au-delà du respect du principe de la publicité de l’audience correctionnelle, cette retransmission visait à permettre au peuple burkinabè d’être témoin des débats judiciaires et d’être interpellé sur la nécessité pour tous de veiller au respect des biens publics surtout en ces moments difficiles d’insécurité et de rareté de ressources. »

BAZIE B. Blaise,  Procureur du Faso

Source: SIG Burkina Faso

Le Burkina Faso et la Russie consolident leur partenariat stratégique avec une rencontre entre le Premier ministre burkinabè, Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, et l’ambassadeur russe Igor Martynov, ce 28 janvier 2025 à Ouagadougou. Cette audience, placée sous le signe du renforcement des liens bilatéraux, a permis d’évoquer des domaines clés de coopération, notamment la sécurité, l’économie, l’énergie et le transport aérien.

La Russie réaffirme son engagement aux côtés du Burkina Faso en apportant un soutien matériel et technique aux forces de défense burkinabè pour faire face aux défis sécuritaires. Par ailleurs, des projets d’envergure sont en préparation, dont la construction d’une centrale nucléaire civile visant à renforcer l’indépendance énergétique du pays.

L’entretien a également mis en avant l’importance d’une coopération diversifiée, tournée vers un développement durable et mutuellement bénéfique. Cette dynamique illustre la volonté du Burkina Faso d’élargir ses alliances internationales et d’intensifier ses relations avec des puissances émergentes comme la Russie.

Saidicus Leberger

Pour Faso Patriotes TV

Le lundi 23 décembre 2024, l'Union Nationale des Sociétés Coopératives des Producteurs de Coton du Burkina Faso (UNPCB) a organisé un atelier de bilan consacré à la mise en œuvre du projet FAIR/Sahel. Cet événement, qui s’est tenu au siège de l’UNPCB, a permis de réunir divers acteurs du secteur agricole afin de réfléchir aux résultats obtenus et aux perspectives futures de cette initiative décisive pour l’agriculture burkinabè.

Un projet phare pour la résilience agricole

L’initiative FAIR/Sahel, lancée il y a quatre ans, a été conçue pour renforcer la résilience des systèmes agricoles dans les zones sahéliennes, particulièrement vulnérables aux aléas climatiques. Ce projet ambitieux a mis l’accent sur l’amélioration des techniques de production, la gestion durable des ressources naturelles et l’adoption d’innovations adaptées aux besoins locaux.

Depuis sa mise en œuvre, FAIR/Sahel a touché des milliers de producteurs, notamment ceux du secteur cotonnier, moteur économique et social du Burkina Faso. Les innovations introduites dans le cadre de ce projet ont visé non seulement à accroitre les rendements agricoles, mais aussi à promouvoir des pratiques respectueuses de l’environnement et à réduire la dépendance des agriculteurs aux intrants chimiques.

Un atelier pour évaluer les acquis

L’atelier bilan du 23 décembre a constitué une plateforme d’échanges entre les parties prenantes, comprenant des représentants des coopératives agricoles, des experts en développement rural, des partenaires financiers et des représentants gouvernementaux.

L’objectif principal de cette rencontre était de partager les résultats obtenus au cours de ces quatre années d’intervention et d’évaluer les impacts concrets du projet FAIR/Sahel sur les populations bénéficiaires. Les participants ont également analysé les défis rencontrés, afin d’identifier les pistes d’amélioration pour une pérennisation des acquis.

Des résultats encourageants

Lors de cet atelier, plusieurs avancées significatives ont été présentées. Parmi elles, on peut citer :

L’augmentation des rendements agricoles : grâce à l’adoption de techniques innovantes, les producteurs ont enregistré des hausses substantielles dans les cultures de coton et de céréales, contribuant ainsi à une sécurité alimentaire accrue.

La promotion de l’agriculture durable : des pratiques agroécologiques, comme l’utilisation de compost organique et la rotation des cultures, ont été largement adoptées, réduisant l’impact environnemental de l’activité agricole.

Le renforcement des capacités : des formations spécifiques ont permis aux producteurs de maîtriser de nouvelles compétences techniques et de mieux gérer leurs exploitations.

L’autonomisation économique des coopératives : en facilitant l’accès aux marchés et aux financements, le projet a contribué à améliorer les revenus des agriculteurs.

Des défis à relever

Malgré ces avancées notables, l’atelier a également mis en exergue certains défis persistants. L’irrégularité des pluies, les difficultés liées à l’accès aux intrants de qualité et le manque d’infrastructures pour le stockage et la transformation des produits agricoles restent des obstacles majeurs. De plus, la vulgarisation des innovations reste à renforcer pour toucher un plus grand nombre de producteurs.

Perspectives d’avenir

Face à ces enjeux, les participants à l’atelier ont formulé plusieurs recommandations, notamment :

• Accroître les efforts en matière de sensibilisation et de formation des producteurs.
• Renforcer les partenariats avec les institutions de recherche et les ONG pour développer des solutions adaptées aux réalités locales.
• Investir dans les infrastructures de stockage et de transformation pour améliorer la valeur ajoutée des produits agricoles.
• Promouvoir des politiques publiques favorables à l’adoption de pratiques agricoles durables.

Un engagement réitéré pour un développement inclusif

Au terme de l’atelier, les responsables de l’UNPCB ont exprimé leur satisfaction quant aux résultats obtenus et réaffirmé leur engagement à poursuivre les efforts entrepris. Le président de l’UNPCB a déclaré : « Le projet FAIR/Sahel a montré qu’il est possible de conjuguer innovation, durabilité et impact socio-économique. Nous devons capitaliser sur ces acquis pour construire une agriculture plus résiliente et plus prospère. »

Avec FAIR/Sahel, l’agriculture burkinabè se démarque comme un levier essentiel du développement économique et social. Ce bilan positif marque une étape cruciale vers une transformation durable du secteur agricole dans un contexte de défis climatiques et économiques croissants.

Saidicus Leberger
Reportage Vidéo: TKY
Pour Faso Patriotes TV

La cérémonie de sortie de la 50e promotion des élèves sous-officiers de la Gendarmerie nationale du Burkina Faso s'est tenue le 20 septembre 2024 au Camp Ouézzin-Coulibaly de Bobo-Dioulasso. 

Présidée par le ministre de la Défense, cet événement marquait la fin de la formation de 1 246 élèves, dont 39 femmes, sur un total initial de 1 250.

Dénommée "Espoir", la promotion a choisi pour parrain le général de brigade Pingrenomma Zagré, qui a exhorté les nouveaux promus à servir la patrie avec loyauté et intégrité dans un contexte de lutte contre le terrorisme. 

La cérémonie, ponctuée de démonstrations et d’un défilé militaire, a rassemblé de hautes autorités civiles et militaires, ainsi que les familles des diplômés. Ces jeunes gendarmes, formés dans le respect de la loi et des droits humains, s'apprêtent à intégrer les rangs pour assurer la sécurité et la protection du Burkina Faso.

Saidicus Leberger
Reportage Images: TKY
Pour Faso Patriotes TV

Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président du Faso, Chef de l’Etat a présidé le vendredi 23 août à Ouagadougou la cérémonie de la Journée de l’excellence scolaire 2024 sous le thème « Engagement citoyen et excellence scolaire, bâtir des leaders de demain ». La cérémonie était placée sous le parrainage de Lassiné DIAWARA, Président de la fondation Bank of Africa Burkina Faso, et les Co-parrains Maître Soumaila DAKUYO, notaire et Dr. Aboubacar NACANABO, ministre de l’économie, des finances et de la prospective. D’imminentes personnalités du Burkina Faso et de la sous-région ont également pris part à cette cérémonie.

Le thème « Engagement citoyen et excellence scolaire, bâtir des leaders de demain »,  choisi pour la célébration de l’édition 2024 de la Journée de l’excellence scolaire est interpellateur vu le contexte sécuritaire de notre pays. C’est pourquoi Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président du Faso, Chef de l’Etat a félicité les différents enseignants et élèves pour leur abnégation au travail malgré le contexte sécuritaire du pays. 

« Le travail des enseignants est complexe dans le sens que c’est à eux de montrer aux élèves ce qui est bon ou pas, et de leur inculquer les valeurs du patriotisme », a souligné le Président du Faso. Il a également prodigué des conseils aux élèves de continuer sur cette lancée pour être des leaders de demain pour bâtir un Burkina meilleur. Le Capitaine Ibrahim TRAORE a par ailleurs rendu un vibrant hommage aux Forces de Défense et de Sécurité ainsi qu’aux Volontaires pour la Défense de la Patrie pour les sacrifices consentis à la paix et à la sécurité de notre pays.  

Les parrains et Co-parrains de la cérémonie ont félicité les différents lauréats en leur octroyant à l’appui des primes. En plus des attestations, les supers lauréats enseignants comme élèves ont reçu chacun une villa et la somme de 5.000.000 de francs CFA. Les élèves lauréats du BEPC et du Baccalauréat ont reçu chacun un ordinateur et une attestation.  Quant à ceux du primaire, ils ont eu droit à des kits scolaires et des attestations d’encouragement.

Le Service d’Information du Gouvernement

Le 22 août 2024, des centaines de manifestants ont défilé dans les rues de Bobo-Dioulasso pour dénoncer la position de l’intersyndicale des Magistrats, qui s'oppose à l’envoi de ses membres au front. Initiée par la Coordination Nationale des Associations de Veilles Citoyennes (CNAVC).

Cette manifestation a révélé un profond malaise au sein de la société burkinabè, face à une justice perçue comme déconnectée des réalités d'un pays en guerre. 

Les manifestants, arborant des drapeaux nationaux, ont exprimé leur soutien au capitaine Ibrahim Traoré, demandant une révision des institutions judiciaires pour mieux répondre aux défis du moment. Ils appellent à une justice engagée, solidaire, et au service du peuple burkinabè, en pleine quête de sécurité et de stabilité.

Saidicus Leberger

Pour Faso Patriotes TV

Reportages - Images: TKY 

La Brigade Territoriale de Gendarmerie de Bobo-Dioulasso a présenté aux hommes de la presse, des présumés auteurs de deux cas d’assassinats suivis de décapitation et de mutilation dans les localités de Logofourousso et de Nasso située à une quinzaine de kilomètre de Bobo-Dioulasso.

Reportage: TKY

Pour Faso Patriotes TV